10/08/2010
: Commention
fonctionne une machine SPRATL et avec quels avantages ? 10/12/2009
: Quels sont
les domaines d'application d'une machine SPRATL ? 14/05/2009
: Quelles sont
la génèse et les idées principales du
SPRATL ? 25/01/2009
: Peut-on
valoriser les immenses volumes de gaz inutilement brûles dans
les torchères ? 20/12/2008
: Pourquoi le
concept SPRATL peut tripler le pouvoir calorifique d'un combustible ? 15/09/2008
: Comment
fonctionne une machine de Stirling et pour quoi faire ? 14/09/2008
: Quels sont
les enjeux agricoles du 21ème siecle ?
10/08/2010
__________________________________________________________ COMMENT
FONCTIONNE UNE MACHINE SPRATL ET AVEC QUELS AVANTAGES
?
Le dispositif
SPRATL est divisé en une machine PRATL chauffée et une
autre PRATL
refroidie ; un régénérateur(RGN) relie
les
machines chaude et froide pour recycler les échanges
thermiques
des étapes isochores de volumes Vmin et Vmax.
Plusieurs cycles
de Stirling similaires se déroulent
simultanément dans toutes les chambres. Ainsi, une révolution de
360° de la machine SPRATL ici présentée
donne 6 cycles de Stirling complets. Les isochores sont parfaitement
respectées, les isothermes sont suivies au mieux
grâce à d'intenses convections de fluide
répétées au sein de la machine SPRATL,
et le régénérateur
(RGN) recycle
à plus de 95% les transferts thermiques entre
l'étape isochore de volume minimum et celle de volume
maximum.
10/12/2009
__________________________________________________________ QUELS
SONT LES DOMAINES D'APPLICATION D'UNE MACHINE SPRATL
?
Mais
aussi des sources
fossiles de chaleur (hydrocarbures : gaz,
charbon, pétrole..., ou les énergies
nucléaires)
ou encore des chaleurs résiduelles d'origines industrielles.
Utilisée en récepteur,
une machine SPRATL
pourra être un
réfrigérateur ou une pompe à chaleur
de forte efficacité,
destinée respectivement à l'industrie du froid
(voire la
cryogénie avec des fluides et matériaux
adaptés)
et au chauffage des locaux et
habitations.
14/05/2009
__________________________________________________________ QUELLES
SONT LA GENÈSE ET LES IDEES PRINCIPALES DU SPRATL
?
En accord avec l'Inventeur, les caractères rotatifs,
bi-étagés à double
volumétrie inégale des machines
PRATL ont conduit SYCOMOREEN à les adapter en un concept
Stirling radicalement nouveau : les
machines SPRATL utilisent le cycle
thermodynamique de Stirling
constitué de deux isothermes (l'une chaude, l'autre froide)
reliées par des isochores (l'une de volume minimum Vmin,
l'autre
de volume maximum Vmax). Un brevet SPRATL,
propriété de Sycomoreen, et ses figures 1,2,3,4,5 ont
été déposés à
l'INPI de Paris le 22 août 2008.
Les travaux de Sycomoreen ont découvert l'existence de
variantes
théoriques polylobiques impaires (à 5,
7, 9...
lobes). Néanmoins, les agencements
sycomoréens proposés pour la version trilobique
apportent tous les perfectionnements pour bien suivre le cycle de
Stirling :
o respect parfait des phases
isochores,
o meilleur suivi des
isothermes par une convection intense du fluide au sein des machines
PRATL,
o blocage des transferts thermiques
directs entre les
éléments chauds et froids d'une machine SPRATL,
o régénérateur
à flux continus et opposés de fluides avec des
taux de régénération de plus de
95%.
25/01/2009
__________________________________________________________ PEUT-ON
VALORISER LES VOLUMES DE GAZ INUTILEMENT
BRÛLES
DANS LES TORCHERES ?
Les process industriels
pétroliers, notamment l'exploration de
gisements, mais surtout l'extraction et le raffinage du
pétrole ou gaz, libèrent
directement
dans l'atmosphère des quantités
considérables de
méthane (CH4) ou de dioxyde de carbone (CO2
lorsque le gaz est torché).
Selon le GGFR,
en 2004*, chaque
année, 150 milliards de m³ de gaz
naturel sont brûlés à la
torche ou rejetés dans l'atmosphèresans
aucune valorisation ;soit
l'équivalent de 30 % de la consommation annuelle
européenne, ou 25 % de la consommation annuelle des
États-Unis.
On justifie
généralement ces rejets par l'absence de gazoducs
ou de
réseaux électriques à
proximité des sites
d'extraction. Même quand la connexion au réseau
est
possible, le coût d'achat et d'entretien des turbines
à
gaz/alternateurs est jugé excessif. Il n'en demeure pas
moins
qu'il s'agit d'un
gaspillage total de
ressources naturelles de haute valeur, doublé d'une
pollution
majeure en gaz à effet de serre parmi les plus nocifs
(CO2 et CH4 ).
Les machines
trilobiques de Pascal HA PHAM et les moteurs
et pompes de SYCOMOREEN
peuvent répondre à cette
problématique, soit par combustion
et détente du gaz dans les moteurs trilobiques,
soit par cycle de
Stirling à haut rendement dans les SPRATL,
pour générer in situde
l'électricité injectée sur
les réseaux, éventuellement par
câbles sous-marins.
A
la différence d'une turbine à gaz,
toutes les machines
trilobiques sont de fabrication simples (donc
d'entretien et de fabrication peu
coûteuses), à vitesse de
rotation lente et fort couple (pas besoin de
réducteur:
couplage direct sur l'alternateur) et à
démarrage instantané dans n'importe quelle
position. Enfin, elles ne craignent pas les
irrégularités d'alimentation en gaz.
N.B. :
Il pourrait être prévu un fonctionnement
différé, soit avec une réserve d'air
comprimé (possiblement injecté directement dans
le
gisement), soit avec un bloc de stockage thermique pour vendre
l'électricité à des heures de pointe
sur le
réseau. La génération
d'électricité in situ
est la plus pertinente car les lignes électriques sont
généralement en place, ou relativement peu
onéreuses à poser par rapport aux gazoducs.
Enfin,
l'électricité est la forme d'énergie
la plus
performante : polyvalence, transport ultrarapide à faible
pertes.
20/12/2008 __________________________________________________________ POURQUOI
LE CONCEPT
SPRATL PEUT TRIPLER LE POUVOIR CALORIFIQUE D'UN
COMBUSTIBLE ?
On voit généralement, pour le chauffage
domestique,
diverses solutions s'opposer et même se concurrencer vivement
:
chauffage électrique, chauffage au fuel, au gaz, chauffage
par
pompe à chaleur, au bois (bûches,
déchiqueté
ou pellets...), la micro-cogénération, etc...
En dehors d'un appoint solaire ou éolien, pour fournir
une autonomie électrique et pour
chauffer efficacement une habitation ou même un grand immeuble,
il n'y a en
réalité qu'une seule combinaison optimale, et qui relève de la
collaboration judicieuse de ces diverses solutions de chauffage
:
Cela nécessite :
1. D'avoir un combustible* (bois, gaz, fuel,
déchets
organiques et ménagers (carton, feuilles, herbes et
matières sèches)),
2. D'être relié de
préférence à un réseau
électrique,
3. D'avoir une pompe à chaleur et son échangeur
thermique air/sol ou air/air,
4. D'avoir un appareil de cogénération
électricité/chaleur, de
préférence un
moteur STIRLING.
* Idéalement, un combustible non fossile.
Quelques
calculs accessibles à tous
1. En partant d'une quantité de chaleur initiale QI fournie par le
combustible, le cogénérateur Stirling fournit:
1.a) une énergie électrique Wel = X . QI
1.b) une énergie thermique résiduelle basse
température (typiquement 60°C) : QS = ( 1 - X ) . QI
2. Le travail électrique Wel
est réinjecté, via le réseau
électrique,
dans la pompe à chaleur travaillant avec un coefficient de
performance (COP)
: elle fournit à son tour une énergie thermique
basse température (60°C) : QP = COP . Wel
3. Les chaleurs QP
et QS sont
alors dirigées dans le bâtiment à
chauffer qui reçoit une énergie thermique QF = QS + QP
à 60°C (donc parfaitement apte à le
chauffer à environ 20°C).
BILAN
comme : QS =
(1 - X) . QI
; Wel =
X . QI
; QP = COP . Wel
; QF
= QS + QP
QF = [ 1 + X . ( COP -
1 ) ] QI
Le facteur multiplicateur du
pouvoir calorifique du combustible est : M = 1 + X (COP - 1 ) tel que QF = M
. QI
Actuellement,
avec X = 20% et COP=4, il vaut M = 1,6,
soit 100 kg de combustible
équivalents à 160 kg sur une
chaudière traditionnelle.
A moyen terme,
avec le SPRATL,
M = 2,2 est
tout à fait accessible (COP = 4, X = 40%).
soit 100 kg de combustible
équivalents à 220 kg sur une
chaudière traditionnelle.
soit 100 kg de combustible
équivalents à 300 kg sur une
chaudière traditionnelle.
* SYCOMOREEN rappelle ici que
sa machine SPRATL peut aussi bien fonctionner en moteur qu'en pompe
à chaleur de Stirling.
15/09/2008 __________________________________________________________ COMMENT
FONCTIONNE UNE MACHINE DE STIRLING ET POUR QUOI FAIRE ?
Les machines
de Stirling comptent parmi les dispositifs les plus performants et
polyvalents pour réaliser des
conversions thermomécaniques. Elles utilisent une sourc mécanique,
une source chaude et une source froide ; elles peuvent
aussi bien se comporter en moteurs,
réfrigérateurs et pompes à chaleur.
Une fois équipées d'un régénérateur
de chaleur, ce sont les
seules machines pouvant atteindre les ultimes efficacités
thermodynamiques de Carnot, infranchissables en
accord avec le second principe de la thermodynamique.
Leurs applications
sont essentiellement la génération
d'électricité, de froid ou de chaud, et ils seront probablement au coeur
des conversions énergétiques du 3ème
millénaire,
en particulier dans le cadre de réseaux
électriques
décentralisés, c'est à dire
où chaque
utilisateur est tantôt consommateur, tantôt
producteur
d'énergie. Les sources
de chaleur valorisables
sont des déchets organiques, telle que des
déchets
végétaux, des déchets industriels ou
des ordures
ménagères (ou éventuellement du
biogaz/biocarburant
générés à partir de ces
déchets),
mais aussi une source inépuisable, propre, et
malgré tout
presque totalement inexploitée : le rayonnement
solaire direct. Les
machines de Stirling s'inscrivent donc dans une approche à
la
fois économique et très respectueuse de
l'environnement.
14/09/2008 __________________________________________________________ QUELS
SONT LES ENJEUX AGRICOLES DU 21ème SIECLE ?
Sycomoreen vous invite à écouter
l'émission radio Contre-Expertise
de Radio
France Culture,
attendre quelques minutes pour le
téléchargement
avec :
- Christian Troubé
; Rédacteur en chef de "La Vie"
- Gilles Hirzel
; Chargé d'information, Bureau régional
de la FAO pour l'Europe
- Daniel Nahon
; Professeur émérite à l'Institut
universitaire de
France, géochimiste et pétrologiste des sols et
des
altérations tropicales
- Philippe Chalmin
; Professeur d'économie, spécialiste du
marché des
matières premières, fondateur du Cercle Cyclope
Il s'agit
d'obtenir simultanément :
- des moyens financiers,
- une fourniture massive d'eau douce pour augmenter la production
agricole des sols secs tout en limitant l'épuisement des
terres
arables,
- la réduction de la pauvreté mondiale
à travers la croissance technologique, puis
économique,
- des carburants extraits de la biomasse et des énergies
propres...