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PISTON OCTOGONAL CON GEOMETRIA DEFORMABLE CONTROLADA (POGDC)

Principios cyclo 4 veces Conversión del movimiento Sistema del variable regulando de las válvulas Sistema de regular del rate de compresión Rendimientos y aplicaciones

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Comme nous l’avons déjà évoqué, une très grande majorité des moteurs actuels effectuent leurs échanges gazeux à l’aide de soupapes actionnées par un arbre à cames.



1. Rôle primordial des soupapes dans un moteur

Depuis les années 90, les moteurs à 4 soupapes par cylindres se sont fortement développés, d’une part pour limiter la pollution, d’autre part pour améliorer le couple des moteurs d’environ 25% (fig. III.20.). Certains constructeurs comme Audi ont même développé des motorisations des moteurs à 5 soupapes par cylindre, privilégiant la sportivité au détriment du coût de construction du moteur.

2. Analyse des systèmes de soupapes actuels

             Les soupapes actuelles posent 4 grands problèmes :

Problème n°1 : intégration des soupapes dans le haut cylindre

·        Solutions 1 et 2 (fig. III.21.) : soupapes latérales inversées
C’est l’une des conceptions les plus anciennes. Elle nécessite un arbre à cames latéral intégré au bâti moteur. L’écoulement de l’air subit une déviation importante et le taux de remplissage est diminué par la turbulence élevée de l’écoulement d’air lors de l’admission, mais pas lors de la compression, alors que le contraire est souhaitable. De plus, la longueur de la chambre favorise le cliquetis (ou détonation). Enfin, le carburant s’accumule parfois sur les points bas dans la conduite d’admission pour s’enflammer brutalement de façon aléatoire et incontrôlée. La solution 2 diminue la longueur de la chambre pour limiter le cliquetis, mais c’est au détriment de la compacité et du taux de remplissage car le conduit étroit renforce la turbulence au moment de l’admission. Ce type de chambre est utilisé sur les moteurs rustiques car on peut choisir assez librement le diamètre des soupapes.
·        Solutions 3, 4 et 5 : soupapes en tête
Cette disposition permet de séparer la fonction de transmission des efforts, dévolue au bâti, et celle de liaison aérodynamique avec l’extérieur attribuée à la culasse. Une orientation adéquate du moteur permet d’introduire l’air et le carburant par gravité, ce qui évite les points d’accumulation de carburant. Les déplacements des soupapes peuvent être parallèles à l’axe du cylindre (3) ou inclinés (4 et 5). D’une part, les solutions 4 et 5 permettent un diamètre plus grand pour les soupapes, ce qui favorise le taux de remplissage, et d’autre part, elles créent une légère turbulence au moment de la compression en chassant l’air des zones étroites vers les zones larges lors de la remontée du piston. Les solutions 3 et 4 peuvent se contenter d’un seul arbre à cames, contrairement à la solution 5. Celle-ci, en plus de nécessiter de creuser le piston pour ouvrir suffisamment les soupapes sans qu’il y ait collision, est donc moins compacte que les solutions 3 et 4. Actuellement, la quasi totalité des moteurs d’automobiles exploite la solution 3 avec 4 soupapes par cylindre et 2 arbres à cames.
·        Solutions 6 : soupapes décalées
Les soupapes décalées ont les mêmes caractéristiques que la solution 3 et en plus, favorisent une forte turbulence lors de la compression (même principe que pour les solutions 4 et 5) tout en limitant la détonation par une chambre de combustion très petite au point mort haut, mais la culasse est plus onéreuse lors de sa fabrication et il faut nécessairement 2 arbres à cames.

Problème n°2 : implantation et transmission du mouvement des arbres à cames

De nombreuses cinématiques ont été développées :

-         pour transmettre « globalement » le déplacement de la came vers la soupape (fig. III.22.)

-         pour améliorer le contact des poussoirs avec la tige de soupape (fig. III.23.)



Aucune d’entre elles ne se distingue par sa compacité. Par ailleurs, les jeux, déformations et les éventuelles résonances vibratoires des pièces intermédiaires rendent difficile la connaissance précise de la loi de levée de soupape. Pour ces raisons, les arbres à cames en tête sont actuellement les plus utilisés. Signalons au passage que les arbres à cames avec culbuteurs introduisent une pièce en plus – le culbuteur – qui permet de régler l’amplitude du mouvement de la soupape dans la mesure où l’on peut modifier le point de pivot du culbuteur (fig. III.24.). Des cinématiques encore plus complexes existent comme le dispositif  BMW Valvetronic (Cf. 3.c, défaut n°3) à 2 culbuteurs.

Problème n°3 : favoriser le taux de remplissage

L’un des plus grands défauts des soupapes actuelles est l’étranglement qu’elles induisent au niveau de l’admission d’air frais juste avant la chambre de combustion. Ceci est inhérent à leur conception qui permet une bonne étanchéité en position fermée, mais provoque un écoulement turbulent au moment de l’admission, néfaste au bon remplissage du cylindre, d’autant plus que le mouvement du piston est rapide. C’est l’une des raisons de la multiplication récente du nombre des soupapes dans les moteurs pour augmenter la section de passage de l’air frais car il vaut mieux plusieurs petites soupapes qu’une seule grande soupape, ce qui vaut aussi bien pour l’admission que pour l’échappement.

Des parades sont mises en place comme des formes complexes de tubulures d’admission ou de déflecteurs pour permettre un remplissage tourbillonnaire (fig. III.25. et III.26.), mais non turbulent (les lignes de champ des vitesses du fluide sont toutes tangentes à une hélicoïde).

 Sur la figure III.27., on observe que le coefficient de débit d’air sature rapidement, même en ouvrant beaucoup la soupape. De plus, les grandes ouvertures de soupapes obligent parfois à réaliser des échancrures dans le piston pour éviter une collision piston/soupape en début d’admission ou en fin d’échappement. On remarque aussi que certaines formes de la tubulure d’admission favorisent beaucoup le coefficient de débit, mais de telles tubulures sont coûteuses à réaliser en grandes séries…

On peut montrer expérimentalement qu’en définissant le nombre de Mach Z par :

avec 

D : diamètre du cylindre        dS : diamètre de la soupape        aS : célérité du son dans l’air

Ump : vitesse moyenne du piston au cours de l’admission         : valeur moyenne du coefficient de débit

il est possible de connaître le taux de remplissage du cylindre en air frais à l’aide de la courbe de la fig. III.28.

Pour mieux se rendre compte de la résistance des soupapes à la pénétration de l’air frais dans la chambre de combustion, nous allons analyser le cas concret d’un moteur essence 4 cylindres non suralimenté  de 2 L avec 2 soupapes par cylindre (une d’admission, une autre d’échappement):

-         cylindre de diamètre 80 mm et course de 100 mm

-         soupape d’admission de diamètre 35 mm

-         vitesses de rotation moteur : 1000, 3500 et 7000 tours/min

-         vitesse du son dans l’air : 340 m/s à 25°C

-      : 0,4

 Soit N le nombre de tours/min, sur 1 tour vilebrequin, le piston effectue un aller-retour soit 200 mm avec nos hypothèses. Il le fait en un temps de 60s/N soit :

-         60 ms au ralenti (1000 tr/min), d’où Ump = 3,33 m/s

-         17 ms à régime nominal (3500 tr/min), d’où Ump = 11,76 m/s

-         8,6 ms à plein régime (7000 tr/min), d’où Ump =23,26 m/s

 

Ce qui nous donne  Z1000 = 0.128,       Z3500 = 0.451,           Z7000 =  0.893

Même à bas régime, le taux de remplissage n’est que de 85 à 90%. Plus le piston est rapide et plus la situation se dégrade (turbulences de plus en plus fortes au niveau de la soupape) : à plein régime, il n’est plus que de 65 à 75 %. 

Même si l’augmentation du nombre de soupapes et la suralimentation améliorent sensiblement le taux de remplissage...

...la vocation de ces techniques devrait être l’optimisation du fonctionnement moteur

et non pas la correction d’un défaut inhérent au type de soupapes utilisées.

Problème n°4 : pilotage des lois de levée de soupapes

Comme on l’a vu, les soupapes actuelles doivent être commandées avec un arbre à cames. Pour différentes raisons exposées dans la figure III.29., il est nécessaire, dans l’idéal, de modifier les lois de levée de soupapes au cours du fonctionnement moteur, en fonction de divers paramètres dont le plus important est la vitesse de rotation du vilebrequin. Par exemple, au ralenti, on avance la fermeture de la soupape d’admission pour aspirer moins d’air et donc moins consommer. Au contraire, à haut régime, on la retarde pour que plus d’air ait le temps de pénétrer dans la chambre. En ce qui concerne l’échappement, on peut avancer l’ouverture à haut régime pour chasser au maximum les gaz brûlés ou au contraire, à bas régime, la retarder pour avoir une combustion en mélange pauvre et moins consommer. On peut également souhaiter modifier le déplacement de la soupape : par exemple, faible ouverture à bas régime (toujours pour moins consommer) et forte ouverture à pleine puissance. Une autre application est la réalisation du cycle de Miller par une avance à la fermeture de l'admission (AFA), ou bien un retard à la fermeture de l'admission (RFA) de façon à admettre un volume de gaz frais inférieur au volume maximal de la chambre.


Lorsque les constructeurs conçoivent des moteurs où il est possible de réaliser tous ces réglages en fonctionnement, ils établissent une cartographie des avances et retards ainsi que des déplacements de soupapes en fonction de nombreux paramètres, dont les 2 principaux sont la charge du moteur (le couple à fournir au vilebrequin) et sa vitesse de rotation. La figure III.30. regroupe les principales lois de levée de soupapes envisageables où l’axe horizontal représente l’angle de rotation du vilebrequin et l’axe vertical représente l’amplitude de la levée de soupape.

Loi 1 : loi classique réglée une fois pour toutes : c’est un compromis entre les exigences de la fig. III.29. utilisé dans des moteurs rustiques (tondeuses, compresseurs…) ou bien des moteurs plus puissants où la minimisation des coûts est l’objectif prioritaire.

Loi 2 : loi à 2 déphasages fixes avec levée maximale constante, permettant parfois d’avoir un recouvrement admission/échappement. Si ce recouvrement a lieu, il n’est pas réglable.

Loi 3 : loi identique à la loi 2, à la seule différence que le déphasage est continuellement variable. Si le recouvrement de soupape a lieu, il sera réglable. La liberté de réglage commence à se dessiner bien qu’elle soit encore limitée. Pourtant, très peu de moteurs peuvent réaliser cette loi. Les moteurs BMW Vanos et les moteurs des Toyota Yaris (Cf. §3.c)  appliquent cette loi de levée de soupapes.

Loi 4 : loi à déphasages continuellement variables à l’ouverture ET à la fermeture avec levée de soupape constante, réalisable à l’aide du système Camless (Cf. 3.c).

Lois 5 et 6 : loi à déphasages à l’ouverture (5) ou à la fermeture (6) fixes, mais à levée de soupape variable tout comme le déphasage à la fermeture (5) ou à l’ouverture (6).

Lois 7 et 8 : loi à levée de soupape constante, mais à déphasages à l’ouverture (7) ou à la fermeture (8) continuellement variables (réalisable par système Camless).

Loi 9 : loi de levée et de déphasages variables, tant à l’ouverture qu’à la fermeture, réalisable par camless si la levée n’est pas continuellement variable, ou par système électrohydraulique à phase et levée entièrement pilotable si la levée doit être continuellement variable (fig. III.31.).



3. Que retenir de cet état de l'art ? 

Les 3 points suivants :

-        les soupapes actuelles, actionnables uniquement par le sommet de leur tige, nécessitent des systèmes de calage variable d’une complexité importante pour des résultats limités (déphasage de l’ordre de la dizaine de degrés, réglage du déplacement de l’ordre du millimètre).

-         L’inertie de ces systèmes est parfois telle que le réglage souhaité ne se fait qu’au bout d’un régime transitoire durant plusieurs dizaines de cycles, soit le double de tours vilebrequin : c’est ainsi que la loi 4, a priori réalisable par un Vanos, ne l’est pas en réalité car il faudrait que le système réagisse dans une durée très courte devant celle d’un cycle.

-       Il n’est pas possible de maintenir constamment en position une soupape alors que le moteur tourne, or cela peut être utile pour désactiver un cylindre (soupapes constamment ouvertes ou fermées). On pourra se reporter au système Cadillac DoD

4. Analyse des solutions alternatives

Le recours systématique aux soupapes actuelles ferait presque oublier que d’autres solutions existent !

avec, il est vrai, plus ou moins de succès. Il n’est toutefois pas inutile de s’y intéresser quelques instants car certaines d’entre elles présentent des avantages que n’ont pas les soupapes précédemment décrites

En ce qui concerne les moteurs 2 temps, les échanges gazeux se font d’une façon différente de celle des cycles à 4 temps puisqu’une partie de la course du piston est utilisée pour balayer les gaz brûlés. Aussi, les soupapes utilisées sont en général très différentes. Les soupapes les plus simples sont dénommées « valve Reed » (fig. III.32.) et sont montées sur le carter des moteurs 2 temps. Elles sont constituées de 2 languettes accolées ou non selon le sens du flux gazeux. 

            Elles présentent l’avantage de ne nécessiter aucune pièce mécanique de commande, mais cette simplicité pose plusieurs problèmes :

-         limitation en fréquence des valves entraînant un régime moteur maximum limité.

-         retard systématique et imprécis de l’ouverture à l’admission défavorisant le remplissage du carter.

-         retard systématique et imprécis de la fermeture à l’admission entraînant l’expulsion d’une fraction des gaz frais du carter.

-         utilisation impossible à la périphérie des chambres de combustion car, d’une part, leur étanchéité est insuffisante, d’autre part, elles y supportent mal les conditions agressives de température et de pression.

Les moteurs 2 temps utilisent fréquemment un fourreau comportant diverses lumières d’admission et d’échappement (fig. III.32.). Ces lumières se translatent au dessus des lumières fixes du cylindre, ce qui permet périodiquement leur ouverture et leur fermeture. Le mouvement du fourreau est assuré par un embiellage supplémentaire dont la manivelle est en prise avec le vilebrequin, soit via un engrenage, soit via une courroie. L’avantage principal de ce système est la rapidité des fermetures et ouvertures des lumières favorisant un fort taux de remplissage. Les inconvénients sont :

-         Un réglage quasi impossible des déphasages et des sections d’ouverture des soupapes au cours du fonctionnement du moteur.

-         Une puissance mécanique importante prélevée sur le vilebrequin pour actionner le fourreau.

-         Une étanchéité peu performante du fourreau.

Si nous nous intéressons maintenant aux moteurs 4 temps, des systèmes de soupapes rotatives existent, mais ne se sont pas réellement développés. Pratiquement aucun motoriste n’industrialise ces types de soupapes qui restent généralement au stade de prototype (fig. III.33.). 

Deux alternatives ont été envisagées : axe de rotation perpendiculaire à l’axe du cylindre (a), ou bien parallèle (b). 

Les 2 solutions présentent les mêmes avantages et inconvénients :

·        Avantages

o       grandes sections de passage des gaz, gage d’un remplissage et d’une éjection des gaz brûlés très efficaces.

o       déphasage des rotations des soupapes par rapport celle du vilebrequin avec des systèmes similaires au Vanos ou à celui de la Toyota Yaris.

o       vitesse très rapide d’ouverture et de fermeture.

o       précision des instants d’ouverture ou de fermeture car les jeux mécaniques ou les déformations des pièces ont peu d’influence sur l’angle de rotation des lumières à travers lesquelles s’écoule le fluide.


·        Inconvénients

 o    Nécessité d’utiliser un engrenage conique pour transmettre le mouvement du vilebrequin aux soupapes car leurs axes sont orthogonaux (une simple courroie ne suffit pas).

o       Faible étanchéité des soupapes, le moindre jeu ou une légère usure des pourtours circulaires des soupapes dégradent rapidement l’étanchéité.

5. Bilan de l’analyse

Même si l’on peut envisager l’implantation de la plupart des systèmes de soupapes précédemment évoqués sur notre moteur, nous allons dresser la liste des caractéristiques du système de soupapes idéal pour notre moteur :

 

Caractéristiques n°1 : intégration harmonieuse du système sur le moteur

Depuis le début, nous concevons notre moteur dans un souci de compacité : les soupapes ne peuvent s’y implanter que sur les faces fixes des chambres de combustion. Il faut donc :

1.      un système le plus plat possible pour ne pas faire prendre trop d’épaisseur au moteur.

2.      une connexion mécanique avec les vilebrequins la plus compacte possible : une simple courroie ou un engrenage doivent suffire.

3.      une faible puissance mécanique prélevée sur le vilebrequin pour actionner le système.

Caractéristiques n°2 : favoriser le taux de remplissage

Cette exigence nécessite les conditions suivantes :

1.      étanchéité suffisante des soupapes en position fermée

2.      rapidité des fermetures et ouvertures de soupapes

3.      grande section de passage du fluide

4.      diminution des pertes de charge dans la conduite d’admission :

o       limitation du nombre de changements de direction pour le fluide

o       favoriser un écoulement non turbulent : pas d’obstacle à l’écoulement.

5.      éventuelle augmentation du nombre de soupapes par chambre

Caractéristiques n°3 : piloter facilement les lois d’ouverture et de fermeture de soupapes

Rappelons simplement la 5ème fonction du cahier des charges  :

Fonction Critères Niveau Flexibilité Commentaire
5 : Permettre une grande liberté de calage variable des soupapes  Amplitude de réglage de l’angle de calage de la soupape + / - 360° Au moins Le calage variable permet des ajustements indispensables pour respecter les normes anti-pollution et garantir de la puissance au moteur. Il permet aussi de réaliser le cycle de Miller par une avance de fermeture à l'admission (consommation réduite)
Vitesse de réglage du calage 1 / 10 du temps nécessaire à 1 cycle moteur dans la chambre concernée Au plus Le calage variable doit être rapide par rapport au temps d'un cycle moteur
Indépendance d'une chambre à l'autre Totale indépendance d'une chambre à l'autre / Il faut pouvoir régler indépendamment chaque chambre de façon activer/désactiver à volonté la combustion dans ces chambres.
Possibilité de maintenir une soupape constamment dans la même position moteur tournant Ouverte, fermée ou partiellement ouverte Toute position possible Ceci revient à boucher/ouvrir continument les soupapes, ce qui peut avoir des applications pour les éteindre et même pour les transformer en compresseur en vue d'un stockage pneumatique en phase de freinage

Aucun des systèmes de soupapes des §5.a et §5.b ne respecte simultanément les conditions requises par ces 4 caractéristiques.


6. Le système de soupapes SYCOMOREEN

  Les POGDC rotatifs n'ont plus besoin de soupapes car ils fonctionnent en aspiration et refoulement continu.

Le POGDC rotatif à carter rotatif n'a plus besoin de soupapes !

Le POGDC rotatif à carter fixe n'a plus besoin de soupapes !

Le POGDC "rotatif double combustion" à carter fixe n'a plus besoin de soupapes !

mais d'une simple soufflante d'air frais !

De plus, SYCOMOREEN a conçu pour ses moteurs PRBC et POGDC non rotatifs un système de soupapes respectant toutes les exigences du cahier des charges. Il s'implante tel que que les vues CAO suivantes (en vert et rose, avec courroies d'entraînement noir-transparent).

Assemblage 1 POGDC + 4 MPRBC avec 42 soupapes rotatives entièrement pilotables en phase et en ouverture

Assemblage 1 POGDC + 4 MPRBC avec 42 soupapes rotatives : vue des courroies et des tubulures


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